Trop de monde, trop plat, trop chaud. Nous quittons le bord de mer dès que possible pour retourner dans la montagne plus accueillante pour le cyclotourisme.

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Les chutes de Jog sont un peu malingres en saison sèche; elles font tout de même 250 m de hauteur. Les abords sont particulièrement bien aménagés pour profiter du site.

Les chutes de Jog en mouvement.

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En fin de repas, la note n'est pas du tout salée (seulement 3,25 €) mais … épicée au cumin.

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Brouillard entre Jog et Sagara.

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Deux jours de suite, le brouillard nous accompagne les premières heures de la matinée. Nous ne profitons pas beaucoup du paysage, certes, mais la fraîcheur ressentie est agréable.

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Un de ces jours il faudra que nous vous parlions un peu des religions en Inde.

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A Shimoga (ou Shivamogga), c'est un cheval qui cherche sa pitance dans les ordures.

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Bien que l'Inde en produise, le raisin est rangé dans le rayon des fruits exotiques dans ce supermarché de Shimoga.

Une rue de Shimago le soir du 31 décembre 2019.
Autant que possible nous évitons les grandes villes.

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Cet article est l'occasion de vous présenter tous nos vœux de bonheur. Egalement nous espérons que vous serez en bonne santé.


       
Après 2 semaines passées entre 500 et 800 m. d'altitude, nous retournons en bord de mer.
A Gokarna nous nous approchons du monde de la méditation "officielle", différente de celle que nous pratiquons souvent pendant nos longues heures de vélo quotidiennes (M. Jourdain faisait bien de la prose sans le savoir).

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Les plateaux du Karnataka sont parsemés de nombreux champs de centaines d'éoliennes. Nous apprécions ce vent qui nous pousse de temps en temps ou qui rend la chaleur supportable quand il est debout.

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Voici une série de photos qui pourrait donner envie à nos amis cyclotouristes de venir mettre leurs roues en Inde.

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Il faut choisir le réseau de routes secondaires pour être tranquille.

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Le revêtement de la chaussée n'est pas toujours super lisse mais ça passe avec de bons pneus.

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Il est impératif de partir à la saison sèche. Imaginez la même piste lors des pluies de mousson.

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Encas dans un des nombreux restaurants qui jalonnent toutes les routes.

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Nous vous avions parlé de la noix d'arec. On en coupe une mince tranche avec ce ciseau spécial puis on l'enroule dans un morceau de feuille de bétel avec un peu de chaux (!!!) et les épices de son choix.
Vingt minutes de masticage font les dents et la salive rouge.
Vingt ans de pratique et le cancer de la bouche ou de l'œsophage vous guette.

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Ce 26 décembre nous avons droit à une éclipse annulaire du solaire que nous observons par appareil photo interposé.

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L'eau à 28°C attire les baigneurs. Un groupe de Tibétains, qui n'avaient certainement jamais vu la mer, s'y aventure prudemment et avec force rires.

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La ferveur religieuse est impressionnante sur la plage de Gokarna. L'ambiance est proprice au recueillement et bien loin des plages de notre Côte d'Azur.

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Ici on ne vient pas pour nager, bronzer ou jouer au frisbee.

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Méditation face au soleil matinal.

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La méditation n'est pas l'apanage des Indiens. De nombreux Occidentaux viennent pratiquer le yoga en Inde.
A ce sujet, nous sommes logés à la Shiva Ganga Guesthouse où un couple de Français, Uma et Mahesh, enseigne le yoga Iyengar.

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Les quartiers nord de Gokarna sont occupés par de petites exploitations agricoles. Les rizières de la saison des pluies sont devenus des jardins maraichers.

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Au marché de Gokarna, les légumes ont été fraichement ramassés.

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Gingembre et ail parfument souvent la cuisine indienne.

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Un drôle de légume rouge vendu en grande quantité dont nous n'avons pas compris l'usage. Vous pouvez nous écrire si vous savez ce que c'est.

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Certains d'entre vous ne connaissent pas ce succulent fruit qu'est la grenade. Si vous y goutez, plus jamais vous ne pourrez boire le sirop grenadine acheté en grande surface.


       
Rien de notable ces derniers jours. Nous voulons vous souhaiter un Joyeux Noël.

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Toujours sur des routes bien agréables, nous enchainons plusieurs jours de vélo pour retourner vers la mer d'Arabie.

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A Mundgod, Josée fait les magasins de vêtements pour s'acheter un kurta. Nous publierons une photo de Josée dans cette tenue dans un prochain article.

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La conduite des véhicules est le domaine des hommes. Il est assez rare de voir des femmes piloter un scooter.

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Animaux en liberté dans la ville.

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A Mundgod, nous sommes surpris de voir des gens en tenue traditionnelle tibétaine.

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Nous apprenons qu'à quelques kilomètres se trouve une grande colonie de réfugiés tibétains créée dans les années 60.

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A Sirsi une grosse coopérative agricole rassemble des milliers de producteurs de noix d'arec qui servent à la confection du bétel que les Indiens mâchent. Cette pratique peu ragoutante rend les dents rouges et les crachats du jus couvrent les trottoirs.

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Que ceux qui se baffrent lors du repas de Noël aient une pensée pour nous. A défaut de foie gras nous nous contentons d'un Masala Dosa.

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Du point de vue gastronomie, nous n'avons pas à nous plaindre car la cuisine indienne est plutôt bonne.

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Comme cadeau de Noël nous nous offrons le passage au Carwash de nos deux vélos.


       
Nous voici à Hampi, sur le site archéologique remarquable de la région, inscrit au patrimone mondial de l'UNESCO.

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Un plat typiquement indien : le masala dosa.

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Les 1000 km sont franchis alors que nous roulons sur l'autoroute entre Ilakal et Kushtagi. La bande d'arrêt d'urgence est confortable, il suffit de se méfier des motos, chars à bœufs et même camions qui roulent parfois à contresens.

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Les vaches sont généralement en liberté. Pour reconnaître sa vache il suffit de lui massacrer les oreilles.

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La moisson du riz est en cours et la prochaine récolte est déjà en préparation.

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Remplissage des sacs de riz, pesée, fermeture des sacs et chargement.

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Ramassage scolaire. Pas plus de 15 élèves par rickshaw !

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Le site d'Hampi date du XVè et XVIè siècle dont le temple Virupaksha en est l'emblème.

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Hampi - Virupaksha Temple.

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Moyennant 10 roupies, l'éléphant vous bénit d'une caresse de trompe sur la tête.

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Un des nombreux nandis du site.

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Certains temples sont encore actifs et très fréquentés, au vu du nombre de paires de chaussures déposées.

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La Band Tower dans Mohamaddens Quarters.

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Le site s'étend sur plusieurs dizaines de km2 que nous parcourons à vélo.

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Le Madhava Temple.

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Le Hazara Rama Temple. Toutes les constructions sont faites dans un beau garnit gris qui paraît rose à cause de la poussière de latérite qui s'y dépose.

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Bassin en gradins.

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Le bain de la reine.

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Le chariot de pierre dans le temple Vittalaraya.

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Le Kalyana Mandapam dont les colonnes sont finement sculptées dans la masse.

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Le Vittalaraya Temple.

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Les nandis, de différentes tailles, se rencontrent à tous les coins de temple.

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Muhammadan Tomb.

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Dans le temple Laksmi Narashimha.

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Les colonnes sculptées du temple Jain Parshwanatha.

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Le vélo est le moyen idéal pour visiter le site d'Hampi.

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Beaucoup de singes dans les temples.

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Les garçons sont en admiration devant nos vélos…

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… et les gardiens aussi !