Depuis les hauteurs de Valparai nous redescendons au niveau de la mer à proximité de Cochin.
Notre visa Touriste n'autorise que 90 jours consécutifs en Inde. Il nous faut donc sortir du pays et pour cela, nous allons faire un aller-retour à Singapour. Nos vélos resterons chez Daniel que nous avons contacté via le réseau Warmshower. Dans une dizaine de jours, nous serons revenus ici et nous reprendrons notre voyage.
Trois sur une moto, rien de plus classique.
Les enfants apprennent très tôt à piloter… mais ils n'ont pas encore droit au casque comme Papa.
Un petit air de Valparaiso avec ces escaliers peints pour la fête de Pongal.
Belle maîtrise du pinceau pour la réalisation de ce panneau publicitaire.
Sur une feuille de bananier, un Chicken Buryani accompagné d'une Omelet Masala et arrosés d'un Lemon Juice.
Plantation de thé et poivriers.
La fête de Pongal est terminée, les Tea pickers ont repris le travail dans les plantations au rythme du clac-clac des cisailles.
Tea pickers vers Valparai.
Le poivrier est une liane plantée au pied d'un arbre qui lui sert de support.
Grains de poivre. De vert, ils passeront au blanc puis au noir.
Une Tea factory vers le barrage de Sholayar. Ici sont traités les feuilles de thé : séchage, broyage, tri et conditionnement. Pour le thé noir, une étape de fermentation (oxydation) est ajoutée.
Notre entrée dans l'Etat du Kerala se fait par la réserve d'Idamalayar. Une fois de plus les éléphants sont présents, nous espérons ne pas nous trouver face à une horde qui nous barrerait la route.
Pour des raisons de sécurité, les 55 km de route qui traverse la réserve doivent être parcourus de jour seulement. Avant de nous autoriser à passer à vélo, le garde à l'entrée demande l'accord par téléphone.
Les règles dans la réserve sont strictes. Entre autre, il est interdit de s'arrêter… ce que tout bon Indien ne respecte pas (et nons non plus !).
Plusieurs barrages hydrauliques ont noyé des vallées de la réserve. Quel en fut l'impact sur la faune et la flore sauvage ?
Au milieu des plantations de thé.
55 km sans pause, c'est trop nous demander !
Les chutes de Athirappilly à la sortie de la réserve.
Pas de tromperie sur le miel d'abeilles sauvages vendu en bord de route.
Bonjour et merci. Toujours aussi intéressant. Bonne continuation .bisous a vous deux.
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