Dès le 1er janvier nous reprenons la route en direction de deux sites historiques, Halebid et Belur. Pas de surprise, une fois de plus ce sont des temples hindous que nous visitons.
Avec une bonne analyse des cartes routières numériques (Google Maps et OpenStreetMap), nous repérons des routes secondaires agréables et désertes entre Shimoga et Halebid.
Jour de chance, toutes les petites routes prises sont goudronnées.
Les petites côtes sont les bienvenues car il ne fait pas très chaud à 900 m d'altitude, à peine 20°C.
Arrêt casse-croûte dans le village d'Huikere. Que d'hommes ! Où sont les femmes ?
La région est très agricole. Voici une ferme typique avec son char à bœufs (les zébus) et ses vaches laitières.
Pas de vacances pour les écoliers de Sindigere. Dès le 2 janvier ils reprennent l'uniforme et les cahiers.
Une entrée caractéristique d'un village à dominante hindoue.
Dans les petits villages, comme ici à Eswarahalli, le temple est modeste.
A Medarahalli, le village est suffisamment important pour s'offrir un temple de belle allure.
Après les petits temples contemporains, nous arrivons à Halebid pour 2 heures de flânerie sur le site archéologique.
Les superbes sculptures de temple Hoysaleśvara sont façonnées dans de la stéatite, roche tendre relativement facile à travailler et qui durcit au contact de l'air.
L'intérieur du temple Hoysaleśvara, remarquablement ouvragé, date du XIIè siècle.
Un des nombreux Nandis.
Indiennes gracieuses et colorées.
Beaucoup de dévotion (et de photos) autour des Nandis. Le Nandi est la monture de Shiva.
L'anglais permet de communiquer avec les Indiens qui viennent souvent nous interroger sur nos âges, la France, la raison de notre présence en Inde, notre mode de voyage, ....
Nous changeons de ville et nous voici à Belur pour voir le très beau temple Chennakeshava qui date également du XIIè siècle.
Ici aussi le travail de la stéatite est remarquable et illustre la mythologie hindoue.
La pointure des pieds de Jean-Robert n'atteint pas celle de Shiva.
Retour au coucher du soleil sur le site de Belur.
Le temple de Chennakeshava est toujours actif et les touristes y sont les bienvenus… à condition d'être pieds nus.
L'entrée du site de Belur. La tranquillité du lieu est reposante.
Coucher de soleil et cycliste oisive.
Un serre-livres éléphantesque.
Les Indiens sont friands de photos. Les smartphones ont conquis toutes les générations et ont banalisé l'appareil photo.
Le marché aux légumes de Belur.
Le rythme de vie des Indiens est surprenant. Les commerces ouvrent en fin de matinée et ferment généralement vers 22h00.
Les maisons sont souvent surmontées d'un réservoir d'eau. Celui-ci a la forme d'un avion
Très joli reportage! C'est un mode de vie bien différent du nôtre. Je suis surpris de la température à 900 m, je pensais qu'elle serait plus élevée. Le réservoir sur le toit signifie que l'eau est puisée localement? Continuez bien votre périple.
hindou, e adj.n. m.f. adjectif Relatif à l’hindouisme. nom masculinféminin Adepte de l’hindouisme. Note Technique 1° Au sens de «habitant de l’Inde», ce mot est vieilli; on lui préfère aujourd’hui le nom Indien. 2° Au sens de «adepte de l’hindouisme», ce mot s’écrit avec une minuscule.
vous faites quoi de vos velos quand vous visitez ????
RépondreSupprimerTrès joli reportage! C'est un mode de vie bien différent du nôtre.
RépondreSupprimerJe suis surpris de la température à 900 m, je pensais qu'elle serait plus élevée. Le réservoir sur le toit signifie que l'eau est puisée localement? Continuez bien votre périple.
Je cherchais pourquoi Indiens :
RépondreSupprimerhindou, e adj.n. m.f.
adjectif
Relatif à l’hindouisme.
nom masculinféminin
Adepte de l’hindouisme.
Note Technique
1° Au sens de «habitant de l’Inde», ce mot est vieilli; on lui préfère aujourd’hui le nom Indien. 2° Au sens de «adepte de l’hindouisme», ce mot s’écrit avec une minuscule.
n'oublier pas mes photos de vaches "sacrées"