12 février 2020 - Kottayam (Kerala)

La descente du massif des Ghats Occidentaux depuis Vagamon se fait par une route bien défoncée… mais surtout très belle. Arrivés dans la plaine nous retrouvons la chaleur dont il faudra tenir compte pour les étapes à venir.
Nous logeons dans la ville grouillante et sans intérêt de Kottayam.

Nous quittons Kumily pour rallier Vagamon en une seule étapes qui commence le long de la rivière Periyar.

Une fois de plus nous choisissons les petites routes. Notre Gps est fort utile pour la préparation des itinéraires, d'ailleurs nous n'avons aucune carte papier avec nous.

Cordes faites en fibres imputrescibles de coco.

Les hévéas sont incisés pour récupérer le latex. Une feuille de plastic protège le godet récepteur lors des pluies de mousson.

C'est un itinéraire "montagne" qui nous mène de Kumily à Vagamon.

Encore des théiers car nous passons à plus de 1000m d'altitude.

Itinéraire "montagne" avec des pentes parfois un peu dures qui nous font mettre pied à terre.

Le macadam est dans un état douteux mais c'est le risque pris avec notre choix d'éviter les routes principales. Séance gymkhana pour éviter le plus possible de trous.

Pas de goudron du tout !

C'est dur mais cela en vaut la peine.

Après 60km de ce régime, nous n'avons aucun problème à trouver le sommeil dès 8h00 du soir.

Grande conversation entre ces dames.

Pas de problème pour prendre des photos. Il suffit de demander l'autorisation qui nous est toujours accordée.

Pas un poil de graisse. L'Indien des champs n'a pas le même profil que l'Indien des villes.

Vagamon est exactement à 1000 m d'altitude et le climat est idéal en cette saison. Pas de climatiseur dans les hôtels et la couverture est indispensable la nuit.

Lever de soleil à la sortie de Vagamon… et nous sommes déjà sur la route.

Troupeau de canetons dans une rue d'Anakarra.

C'est parti pour 20 km et 1000 m de descente vers Kottayam !

Arrivés dans la plaine nous trouvons des routes bien tranquilles.

C'est sûr qu'il fait bien chaud (36°C). La fin de l'étape se fait heureusement sur un parcours souvent ombragé.